Le street art est une pratique qui prend de plus en plus d'importance dans le domaine de l'art. Il devient plus accessible tout en étant plus engagé. Pour preuve, ce travail d'Egor Kraft qui ne peut pas laisser indifférent.
Des mots. Juste des mots. Les bons mots. Ceux qui te poussent à te poser des questions. Sur toi, sur la société en général, sur l’art, sur la philosophie, sur tout. Juste des mots imprimés en noir sur du papier blanc. Et pourtant si puissants. Quand tu découvres son travail, tu ne peux plus t’arrêter. Tu ne VEUX plus t’arrêter. Ces questions, tu as envie de te les poser. Egor Kraft te prend par la main, et se les pose avec toi. Tu sais que tu ne trouveras pas la solution, comme quand tu demandais à tes parents étant petit :
« Mais après la vie, y a quoi ? ».
Sauf que petit, tu croyais encore que tu aurais des réponses. Aujourd’hui, tu t’es résigné à en trouver, mais tu continues à te poser des questions. Parce qu’à partir du moment où tu ne t’en poses plus, c’est que tu t’es résigné tout court.
Egor Kraft est là pour ça, pour ceux qui veulent encore se poser des questions, mais aussi pour ceux qui se sont résignés. Rappeler à ces derniers que quand ils étaient petits, ils osaient se demander ce qu’est le secret du bonheur.
Et puis il y a cette vidéo ci-dessous qui résume tout cela, où quand tu commences à découvrir ce qu’il y a derrière, tu as juste envie de plonger dans l’infini que ça implique.
Une bonne dose d’ironie et d’absurdité. Un ton cynique et satirique. Une sorte de philosophe des temps modernes ? Pas très bavard le philosophe.
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